Huacachina – Islas Ballestas – Lima (30 avril 2009)

 Huacachina – Islas Ballestas

Durée 58 min 56 sec
Distance totale 73.629 km
Vitesse moyenne 75 km/h
Vitesse maximale 139 km/h
Altitude maximale 451 m
Altitude minimale 10 m

Islas Ballestas

Durée

2 heure 35 min 48 sec
Distance totale 44.3 km
Vitesse moyenne 17 km/h
Vitesse maximale 49 km/h
Altitude maximale 44 m
Altitude minimale -24 m

Islas Ballestas – Lima (Miraflores)

Durée 9 heure 7 min 53 sec
Distance totale 275.523 km
Vitesse moyenne 30 km/h
Vitesse maximale 135 km/h
Altitude maximale 231 m
Altitude minimale -41 m

Attention, attention, embarquement immédiat pour les ISLAS BALLESTAS….les passagers doivent de rendre immédiatement sur le ponton….hop hop hop, au pas de course, nous voilà en deux temps trois mots d’espagnol, à bord la de la Calypso.

Euh….du Pinguino IV, un hord bord de 24 passagers, avec non pas le commandant Cousteau, mais le commandant Carlo.

Les escadrons d’oiseaux marins nous escortent pendant la traversée. Certains foncent et piquent dans l’eau un petit encas, d’autres planent en rase motte à la surface.

1ère escale : Le Candelabre ou Cactus,ou Croix du sud, selon les interprétations.150M DE haut sur 50 de large, il pourrait être une prolongation des lignes de Nasca. La sécheresse du climat en tous cas le garde intact.

Nous arrivons à un petit groupe d’îlots rocailleux et sauvage peuplé de colonies de cormorans, pélicans, et autres oiseaux marins. Ils nous survolent également de toutes parts en poussant de cris stridents.

Une telle concentration est impressionnante.

Suivent les colonies de manchots, pingouins et lions des mers. Une plage concentrent tout un tas de bébés lions de mers. Les grottes creusées dans la roche par l’érosion amplifient les cris rauques de l’animal en un étrange concert accompagnés par les cormorans et battus par les flots.

On avait déjà vu des choses semblables dans Thalassa ou dans les émissions de Cousteau. Mais c’est incroyable de partager en direct la vie animale belle et sauvage.

Le bateau nous ramène à terre et nous prenons la route de Pisco, d’où le célèbre alcool national tire son nom.

On dirait que la ville a été bombardée. Tout est dans un tel état de délabrement et de destruction, même le clocher de l’église est pulvérisé. Il s’agit des traces du séisme du 15 août 2007.

Aux abords de la ville, les bidonvilles de paille et plastiques forment des villages miséreux, où règnent crasse et désolation. C’est un désastre de voir comment les êtres humains peuvent survivre dans de pareilles conditions.

Nous nous arrêtons dans un centre de santé pour donner les médicaments, acquis en préventif de notre séjour. Après tous les remerciements que nous a fait le médecin, ceux-ci semblent être les bienvenus.

Nous arrivons à Lima, où l’agitation, l’effervescence, les klaxons battent leur plein au milieu des déchets en tout genre.

Le quartier de MIRAFLORES est réputé plus sûr. On comprend pourquoi ! Chaque habitation est ceinturée par des murs ou des grilles de 3m de haut, surplombés de barbelés , le plus souvent électriques.

Dîner au Edo Sushibar, où raffinement et finesse des makis et sushis nous ont enchantés.

Il est temps de remettre de l’ordre dans nos bagages grave poussiéreux pour le retour à la casa.

Pour nous suivre : http://www.a-trip.com/tracks/view/20158


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